Deuxièmes rencontres intersectorielles sur le rythme de l’Université de Montréal : Aux sources du rythme
Bande annonce – Aux sources du rythme
Mots de bienvenue – Aux sources du rythme
Mot de clôture – Aux sources du rythme
Conférences
Vladimir Hachinski – « L’intelligence, les arts et la science : nous avons du rythme! »
André Gaudreault – « Cinéma et sommeil paradoxal: un paradoxe intersectoriel? »
Janet Werker – « Réflexion sur l’influence du rythme dans l’acquisition du langage chez les nourrissons »
James Pinfold – « Les mélodies non entendues »
Walter Herzog – « Rythmes moléculaires et du corps humain en mouvement »
Tables rondes
Table ronde – « L’importance de l’improbable »
Table ronde – « Les défis de l’intersectorialité »
Table ronde de clôture
Affichistes
Affichiste – Caroline Martin
Affichiste – Camille Gaillard
Affichiste – Victoria Duda
Affichiste – Ming Ruo Zhang
Affichiste – Maria Isabel Carreno Munoz
Premières rencontres intersectorielles sur le rythme de l’Université de Montréal : Rythme perçu/ Rythme non perçu
Conférence / Table ronde
Vladimir Hachinski – « La neurognosis : Unir les arts et les sciences par la connaissance du cerveau »
Table ronde – « À chacun son rythme! »
Bande annonce – Rythme perçu / Rythme non perçu
Mot d’ouverture – Rythme perçu / Rythme non perçu
Affichistes
Affichiste – Julie Carrier
Affichiste – Caroline Martin
Affichiste – Sylvain Caron & Caroline Traube
Affichiste – André Gaudreault
Affichiste – Hugo Laflamme
Affichiste – Yann Harel
Affichiste – Santiago Hidalgo
Affichiste – Solenne Van der Maren
Affichiste – Cloé Blanchette-Carrière
Affichiste – Ola Choukair
Affichiste – Karim Jerbi
Bande annonce – Aux sources du rythme
Bande annonce des deuxièmes rencontres intersectorielles sur le rythme de l’Université de Montréal : Aux sources du rythme
Mots de bienvenue – Aux sources du rythme
Dans ces mots de bienvenue, plusieurs intervenants de l’Université de Montréal se succèdent pour promouvoir le caractère original de l’intersectorialité en recherche et l’universalité du thème du rythme. Ils expliquent également le caractère unique de l’édition 2018 des prix Killam et soulignent l’audace des lauréats d’avoir réussi à faire avancer la science tout en sortant de leur zone de confort respective. Finalement, ils abordent les liens entre les arts et les sciences ainsi que l’organisation de ces rencontres intersectorielles sur le rythme.
5 décembre 2019
Mot de clôture – Aux sources du rythme
5 décembre 2019
Vladimir Hachinski – « L’intelligence, les arts et la science : nous avons du rythme! »
Dans cette conférence, le lauréat du prix Killam Vladimir Hachinski s’intéresse au cerveau afin de comprendre certaines relations entre la science et les arts. Il explore notamment en quoi l’apprentissage de la musique et des langues démontre le pouvoir du cerveau pour façonner les cultures et vice-versa. Il souligne aussi le rôle important du sommeil paradoxal et de la synchronicité du cerveau dans la santé de l’être humain. Une période de questions ouverte au public clôt cette conférence.
5 décembre 2019
André Gaudreault – « Cinéma et sommeil paradoxal: un paradoxe intersectoriel? »
Au centre de cette conférence se trouvent la notion de paradoxe et le désir de jeter un pont entre les arts et la neuroscience, et les études cinématographiques et la psychanalyse. Le lauréat du prix Killam André Gaudreault s’intéresse notamment au rapport entre les REM (Rapid Eye Movements) du spectateur du film et les REM du rêveur. Il explique également la place importante du rythme dans sa vie et dans ses recherches. Une période de questions ouverte au public vient conclure cette conférence.
5 décembre 2019
Janet Werker – « Réflexion sur l’influence du rythme dans l’acquisition du langage chez les nourrissons »
Dans cette conférence, la lauréate du prix Killam Janet Werker souligne l’unique habileté chez les humains à se synchroniser à une variété d’aspects du monde extérieur et de s’adapter aux constructions et aux représentations de notre création ainsi qu’aux informations que nous apprenons. Elle se concentre sur des sujets tels que le rythme et les interactions humains, le rythme et le développement de l’enfant, et le rythme et le développement du langage. Elle aborde également la corrélation entre le langage et la musique. Une période de questions ouverte au public clôt cette conférence.
6 décembre 2019
Walter Herzog – « Rythmes moléculaires et du corps humain en mouvement »
Au coeur de cette conférence se trouve une réflexion sur le caractère aléatoire au niveau moléculaire chez les êtres vivants par rapport au contrôle exercé sur les muscles et les mouvements. Le lauréat du prix Killam Walter Herzog souligne entre autres la qualité intrinsèque du rythme dans nos réseaux locomoteurs et son pouvoir de guérison pour certaines maladies du cerveau liées à cela. Une période de questions ouverte au public clôt cette conférence.
5 décembre 2019
James Pinfold – « Les mélodies non entendues »
Lors de cette conférence préenregistrée, le lauréat du prix Killam James Pinfold présente la première partie de son court métrage Hidden Melodies. Il nous explique notamment comment plusieurs découvertes de scientifiques de renom au cours de l’Histoire se sont inspirées de mélodies secrètes uniquement perceptibles de manière abstraite. Par la suite, une discussion avec le chercheur nous informe sur son rapport avec les arts et les sciences et sur notre compréhension de la physique classique et de la physique moderne.
6 décembre 2019
Table ronde de clôture
Les lauréats du prix Killam discutent de leurs apprentissages et de l’impact de ce projet sur leurs prochaines recherches. Ils émettent des pistes de réflexions et d’exploration pour préparer les prochaines recherches sur le rythme et la manière dont ces recherches peuvent être implémentées en société. Les participants soulignent également l’importance de penser un projet en relation avec plusieurs disciplines, et de la beauté se trouvant dans le potentiel de sujets comme le rythme en ce qui concerne la connectivité. Finalement, les chercheurs réfléchissent à la place du rythme chez les nouvelles générations et leur offrent des conseils sur des recherches postérieures.
6 décembre 2019
Table ronde – « L’importance de l’improbable »
André Gaudreault, Vladimir Hachinski, Walter Herzog et Janet Werker relatent l’origine improbable de leur collaboration les ayant menés à l’obtention du prix Killam en 2018. Ils parlent entre autres de leur intérêt pour le rythme, de la place tenue par l’improbabilité dans leur profession et des conseils qu’ils ont reçus au cours de leur carrière. Par la suite, ils se questionnent à savoir comment les organismes subventionnaires et les institutions universitaires peuvent créer des environnements d’« improbabilité confortable » pour la prochaine génération alors qu’ils accusent un problème de surspécialisation dans la production des savoirs et de sur importance des paradigmes dominants dans plusieurs domaines. Les lauréats soulignent qu’une bonne façon d’améliorer les choses est en permettant aux chercheurs de changer de disciplines.
5 décembre 2019
Table ronde – « Les défis de l’intersectorialité »
L’objectif de cette table ronde est de revenir au thème de l’intersectorialité. Quatre participants venant de disciplines différentes partagent leurs avis sur ce thème, expliquent ce qui les a poussés à entreprendre des projets intersectoriels, et commentent la valeur ajoutée de l’intersectorialité à leurs activités. Les intervenants s’interrogent ensuite sur les défis que pose l’intersectorialité. Ils soulignent notamment l’importance de l’ouverture aux études intersectorielles chez les établissements universitaires, que ce soit dans la création et l’organisation d’événements encourageant des collaborations intersectorielles ou dans la formation d’intercesseurs pour aider la diffusion du savoir. Ils mentionnent aussi les limites de l’intersectorialité dans un monde universitaire organisé « en silo » et dans lequel les disciplines ne sont pas toutes reconnues au même niveau.
5 décembre 2019
Affichiste – Caroline Martin
Caroline Martin, la coordonnatrice à la recherche du Laboratoire Cinémédias, nous explique le projet de son laboratoire: mesurer l’impact du rythme accéléré dans les contenus audiovisuels narratifs sur le cerveau de jeunes spectateurs.
5 décembre 2019
Affichiste – Camille Gaillard
Camille Gaillard, assistante de recherche au laboratoire BRAMS, nous explique le projet de son laboratoire: mesurer les normes perceptuelles et sensorimotrices chez les adultes afin de déterminer des seuils normaux.
5 décembre 2019
Affichiste – Victoria Duda
Victoria Duda, chercheuse postdoctorante à l’Université de Montréal, nous parle de son projet de recherche où elle se concentre sur les écarts dans le bruit et la résolution temporelle.
5 décembre 2019
Affichiste – Ming Ruo Zhang
Ming Ruo Zhang, étudiante à la maîtrise en psychologie, nous explique son projet de recherche où elle essaie d’entraîner la capacité rythmique chez les gens souffrant d’amusie rythmique, soit les personnes incapables de détecter le rythme.
5 décembre 2019
Affichiste – Maria Isabel Carreno Munoz
Maria Isabel Carreno Munoz, chercheuse postdoctorante à l’Université de Montréal et au Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine, nous parle de son projet de recherche où elle s’intéresse à l’importance du développement du cerveau par rapport à la capacité de perception chez les gens en grandissant.
5 décembre 2019
Bande annonce – Rythme perçu / Rythme non perçu
Bande annonce des premières rencontres intersectorielles sur le rythme de l’Université de Montréal : Rythme perçu/ Rythme non perçu
Mot d’ouverture – Rythme perçu / Rythme non perçu
Santiago Hidalgo, professeur associé au département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal, nous accueille à cette Première Rencontre intersectorielle de l’Université de Montréal sur le rythme nommée “Rythme perçu / Rythme non perçu”. Il nous explique notamment en quoi son laboratoire (Laboratoire CinéMédias) est intrinsèquement lié aux deux enjeux principaux de cette rencontre: le rythme et l’intersectorialité.
2 mai 2019
Vladimir Hachinski – « La neurognosis : Unir les arts et les sciences par la connaissance du cerveau »
Dans cette conférence, Vladimir Hachinski explore le thème du rythme et la manière dont il est connecté à chaque discipline des lauréats du prix Killam 2018. Puis, il explique l’importance du rythme pour le cerveau humain et le lien entre ce dernier, la musique et les symptômes visuels. Pour cela, il aborde notamment les problèmes de migraines, d’arythmies menant à des morts soudaines et d’accidents vasculaires cérébraux. Par la suite, il souligne la façon dont l’environnement façonne le cerveau, et vice-versa, et comment cela l’a mené à créer le terme neurognosis pour essayer de mieux comprendre nos comportements, nos sentiments et ce que nous produisons. Finalement, le chercheur mentionne l’importance de l’intersectorialité pour intégrer des principes théoriques à la pratique. Une période de questions ouverte au public clôt cette conférence.
2 mai 2019
Table ronde – « À chacun son rythme! »
Dans cette table ronde, différents intervenants nous parlent de la question d’intersectorialité dans le milieu universitaire par rapport aux enjeux liés à son application, que ce soit dans la mise en place, le financement ou la réalisation de projets intersectoriels. Ils mentionnent aussi la place de l’intersectorialité dans leur vie personnelle et leur parcours professionnel, et présentent leurs recherches, projets et collaborations récentes. Finalement, ils se questionnent sur la place de l’intersectorialité dans différentes disciplines et répondent à des questions du public.
2 mai 2019
Affichiste – Julie Carrier
La vice-rectrice associée à la recherche et aux études de l’Université de Montréal, Julie Carrier, parle de ses attentes face aux Premières Rencontres intersectorielles de l’Université de Montréal sur le rythme et de la place de l’intersectorialité dans le milieu universitaire.
2 mai 2019
Affichiste – Caroline Martin
Caroline Martin, la coordonnatrice à la recherche du Laboratoire Cinémédias, nous explique le projet de son laboratoire: mesurer l’impact du rythme accéléré dans les contenus audiovisuels narratifs sur le cerveau de jeunes spectateurs.
2 mai 2019
Affichiste – Sylvain Caron & Caroline Traube
Sylvain Caron et Caroline Traube sont respectivement directeur du Groupe de recherche en interprétation musicale, analyse et expression (GRIMAE) et professeure d’acoustique et de psychoacoustique à l’Université de Montréal. Ensemble, ils nous parlent de leurs projets portant sur la production de la perception du rythme dans l’interprétation, et sur la manière dont l’émotion est véhiculée par l’interprétation de la musique.
2 mai 2019
Affichiste – André Gaudreault
André Gaudreault, lauréat du prix Killam 2018 en sciences humaines, nous parle des défis et du déroulement de l’organisation de cette Première Rencontre intersectorielle de l’Université de Montréal sur le rythme. Il souligne aussi le caractère intersectoriel de ce projet de recherche et l’importance des recherches intersectorielles dans le milieu universitaire.
2 mai 2019
Affichiste – Hugo Laflamme
Hugo Laflamme, étudiant au doctorat en psychologie et auxiliaire de recherche au BRAMS, nous parle de la présentation de son laboratoire portant sur l’évaluation et l’entraînement des capacités rythmiques perceptuelles et sensori-motrices.
2 mai 2019
Affichiste – Yann Harel
Yann Harel, étudiant au doctorat à l’Université de Montréal et membre du CoCo Lab, nous explique les objectifs du laboratoire: appliquer les sciences computationnelles à la compréhension du cerveau humain et plus particulièrement à la compréhension des oscillations cérébrales. Il nous parle aussi de ses recherches en sonification cérébrale et fait un retour sur la conférence du lauréat du prix Killam 2018 en science de la santé; Vladimir Hachinski.
2 mai 2019
Affichiste – Santiago Hidalgo
Santiago Hidalgo, professeur associé au département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal, fait un retour sur cette Première Rencontre intersectorielle sur le rythme et nous parle de l’avenir du Laboratoire CinéMédias en ce qui concerne son approche face à l’intersectorialité et la place qu’y occupent les études cinématographiques.
2 mai 2019
Affichiste – Solenne Van der Maren
Solenne Van der Maren, étudiante au doctorat en neuropsychologie clinique à l’Université de Montréal et membre du CÉAMS, nous parle de son projet de recherche portant sur le sommeil et les rythmes circadiens après un traumatisme craniocérébral modéré à sévère. Elle nous explique la place importante du rythme dans son projet et mentionne aussi la pertinence des événements intersectoriels dans le milieu académique pour permettre aux gens d’avoir une plus grande perspective sur leurs recherches.
2 mai 2019
Affichiste – Cloé Blanchette-Carrière
Cloé Blanchette-Carrière, diplômée à la maîtrise en sciences biomédicales à l’Université de Montréal et membre du CÉAMS, nous parle de son projet de recherche visant à provoquer une prise de conscience chez les gens durant leur sommeil à l’aide de la stimulation transcrânienne par courant alternatif. Elle offre aussi ses réflexions sur l’intersectorialité dans le milieu académique.
2 mai 2019
Affichiste – Ola Choukair
Ola Choukair, étudiante à la maîtrise en neuroscience à l’Université de Montréal, nous explique ses recherches sur les fractales dans le cerveau et nous parle de la place de l’intersectorialité dans le milieu universitaire.
2 mai 2019
Affichiste – Karim Jerbi
Karim Jerbi, professeur au département de psychologie de l’Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en neuroscience computationnelle et neuroimagerie cognitive, nous explique l’objectif de son laboratoire; soit de comprendre la dynamique des réseaux cérébraux.
2 mai 2019